[Accepté] Candidature multiple : la Cosa Nostra

[HRP]Ceci est l'intro rédigée par Shadow-Génération, la suite des candidatures est à venir.

Bon on il avait fait ça sur un fond noir, si ça vous arrache trop les yeux je changerais.[/HRP]


Un soir d'hiver durant un orage battant, dans une tente mal éclairée de la foire au trool, un être encapuchonné prononçait de sombres incantations sur une boule de cristal qui ne lui avait rien demandé. Dans cette tente on peut voir, derrière une caisse et deux tonneaux, une femme joufflue à qui un régime n'aurait pas fait pas de mal, elle semblait évanouie, et au rictus de son visage, elle ne devait pas avoir compris ce qui lui était tombé sur le pif. Subitement, l'homme au capuchon se mit à sourire, du moins en donnait-il l'impression, car on ne pouvait distinguer son visage. Et il prononça une phrase d'une voix sombre et agonisante.

- Montre moi le passé...

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Le X janvian 647 était un jour tranquille. Au matin, les tofus gazouillaient, pendant que les paysans coupaient du blé devant la grande cité de Bonta, dont les murs n'égalaient que la magnifique architecture de celle-ci. A l'intérieur, la cité était agitée, des aventuriers vendaient ou achetaient leurs trouvailles à l'hôtel de vente, tandis que d'autres vociféraient au zaap pour recevoir de quoi payer leur transport. Bref, la cité était égayée et tout semblait aller pour le mieux... Mais franchement, on s'en fiche. Ce qui nous intéresse actuellement est ce petit conseiller prenant une pause bière avec ses collègues, espérant passer une journée tranquille sans réprimande.

- ICHVALD ! dans mon bureau immédiatement !
- Oui sir Danathor ! *à ses collègues* et merde... pour la journée tranquille, c'est foutu, ce taré va encore me dire que je ne fais rien.
- C'est pas le cas mon vieux ?
- Mais non, vous voyez bien là ?
- J'vois que tu bois une bière surtout, franchement si c'est ça ton travail, je demande à changer de poste immédiatement.
- Pfff... Bon, je vais voir ce que veut le patron et je reviens, gardez la bière les enfants.

Et il s'en allait voir ce que voulait Sir Danathor. En entrant dans le bureau de celui-ci, il pouvait voir des affiches de candidature mises un peu partout sur les murs. Il y était inscrit '' Pour une Bonta sans remord, votait Danathor !'', il remarquait aussi les nombreux dossiers étalés un peu partout dans la salle, dossiers sur les candidats politiques pour le poste d'intendant de Bonta. Bref, c'était les élections, et Ichvald savait d'avance qu'il allait en baver.

- Ichvald ! cette année, ma campagne est au bord du gouffre, d'après les sondages, seulement 10 % de la population votera pour moi ! vous vous rendrez compte ?! 10%, !
- Oui sir Danathor, cela ne peut être envisagé.
- évidemment mon cher Ichvald, c'est d'ailleurs pour cela que je te paye, pour que de telles choses n'arrivent pas. Tu sais pertinemment ce qui pourrait arriver si une telle ignominie venait à se produire... Amayiro l'emporterait sur moi, je serais la risée de Bonta, et des accidents surviendraient, cela serait... Regrettable, n'est-ce pas ?

Ichvald émettait un bruit qui en disait long sur son état, avec courage, il répondait à son maître en essayant de garder constance

- Bien entendu, sir.
- Je vois que tu comprends vite... Alors ? as-tu une idée ? ou peut-être qu'une lance égarée dans la tête de ta femme pourrait t'y aider ?
- NON ! ... Excusez moi, ce n'est pas la peine sir, j'ai ce qu'il faut.
- Parfait, je t'écoute, soi convaincant et par pitié, arrête d'uriner sur tes pants.

Ichvald venait d'uriner sur son pantalon, c'était probablement une technique d'intimidation qui avait du mal fonctionner, il sortit un mouchoir de sa poche et se nettoya.

- Pardon sir... Actuellement le seul moyen de gagner les élections serait d'obtenir le soutien d'un parti extrêmement puissant.
- Tu m'estimes incapable de renouveler mon mandat seul ?

Danathor prenait une dague et commençait à se curer les ongles avec, la lueur que l'on pouvait voir dans ses yeux ne laissait aucuns doutes sur ses intentions actuelles à l'égard de son conseiller
Ichvald renouvela son impressionnante technique d'intimidation.

- Bien sûr que non Sir, c'est juste qu'actuellement les autres candidats ont tous des soutiens... Il faut bien équilibrer la donne, non ?
-... Mwoui, continue .
- Et à mon humble avis, le soutien dont nous avons besoin serait le roi d'Allister, son poids pèserait largement dans la balance des votes, vous comprenez ?
- Me prendrais-tu pour un idiot, Ichvald ?
- Oh non Sir, veuillez m'excuser...
- Donc, il me suffit d'obtenir son soutien pour gagner, et bien cela ne m'a pas l'air bien compliqué.
- Sir, le roi Allister n'acceptera jamais de vous soutenir sans raison, il nous faut cette raison.
- Et bien entendu, tu sais comment l'obtenir, je me trompe ?

Danathor se mettait à curer ses ongles bien plus intensément, cela s'annonçait mal pour Ichvald dont la peau risquait bientôt de servir à nettoyer le sol, et encore, si il restait calme durant ses derniers instants à vivre.

- Aaahh, mais bien entendu Sir ! bien entendu !
- Et bien ?
- Et bien le meilleur moyen d'obtenir son adhésion serait que vous ayez un but commun avec lui.
- Hmmm... Et donc ?
- Et bien pourquoi ne pas commettre un faux attentat dont la faute incomberait à Brakmar, personne ne pourrait penser le contraire, et étant donné notre éternel conflit avec celui-ci, il serait tout naturel que nous offrions notre aide au roi pour combattre la menace. Nous lui rendrions se service en trouvant des boucs émissaires, de telle sorte qu'en plus d'obtenir son aide, nous ferions d'une pierre deux coups car la population approuverait votre acte.
- Ahhh, je savais que tu servais à quelque chose, c'est un excellent travail, conseiller, je vais m'occuper de trouver le bouc émissaire, fait venir Kaze'kami, je vais avoir besoin de ses services.

Danathor déposait sa dague au grand soulagement d'Ichvald qui venait de voir les meilleurs moments de sa vie défiler, remarque, il n'avait pas vu grand chose finalement.

- Oui Sir, merci sir.

Et c'est avec un pantalon teintait d'urine que Ichvald allait chercher Kaze'kami, triomphant de cette entrevue avec son patron. Pendant ce temps, Danathor avait fini d'établir son plan.

- Ah, Monsieur Kami ! quel plaisir de Vous revoir.

Au seuil de la porte d'entrée, se trouvait un homme, d'âge moyen, de fière allure avec une cicatrice sur l'oeil droit ainsi qu'un tatouage avec une tête de mort sur le bras gauche, il n'avait pas d'autres signes distinctifs si ce n'était l'incroyable quantité de bombes qu'il transportait, même pour un roublard.

- J'ai le même avis, Monsieur 'Thor, Quel plaisir de me revoir !
- Certes... J'ai un petit travail pour vous.
- C'est pour ça qu'on me paye Monsieur 'Thor, faire des petits boulots, garder les enfants, faire la cuisine, exploser des bâtiments, tuer des gens, enfin voilà quoi.
- Bon, vous me racontez votre vie ou vous me laissez parler ?
- Allez-y Msieur 'Thor
- Bon... Votre mission consiste à commettre un attentat sur le château d'Amakna, vous pouvez faire comme bon vous semble, Mais vous ne devez pas tuer le roi Allister, de plus vous devrez faire revendiquer cet action par... Attendez, c'est écrit ici, ah oui ! la Cosa Nostra, vous devez à tout prix éviter de vous montrer afin de ne pas compromettre le plan. Compris ?
- Euh... Oui, oui Msieur 'Thor, y a pas de problème.
- Bien, vous devriez utiliser un cadavre pour y dissimuler le message qui inculpera l'organisation, pour faire croire à un attentat suicide, comme ça...

C'est sur cette discussion que la boule de cristal cessait d'émettre sa vision, l'être démoniaque
semblait vraiment s'y intéresser, un rictus mauvais se dessinait sur sa bouche.

- Plus d'informations, il m'en faut plus.

C'est sur ces mots qu'il se remettait à faire cet étrange rituel avec ses mains, et qu'une nouvelle vision se formait, dans celle-ci on pouvait voir ledit attentat et tous les événements qui en découlaient, l'alliance de Danathor avec le roi pour traquer l'organisation criminelle considérée comme l'auteur de l'attentat, Brakmar qui livre à la milice d'Amakna sa guilde criminelle afin de ne pas être impliqué dans le complot et ainsi ne pas en subir les représailles, et la sentence appliquée à la Cosa Nostra, une exécution publique sur la place du village d'Amakna. Et c'était sur cette image que la vision s'estompait.

Nous étions enfermés dans ce cachot sombre et malodorant depuis maintenant plusieurs jours. Mais nous n’étions que très peu, je ne savais pas ce qu’il était advenu du reste de notre organisation. Peut-être étaient-ils détenus ailleurs, ou alors étaient-ils morts. Mais c’était un risque à courir dans notre profession ; chacun connaissait les risques et les avait acceptés en connaissance de cause. Nous pleurerions les défunts plus tard, le moment n’était pas aux larmes et aux lamentations.
Mais une question me hantait tout de même : pourquoi toute la garde d’Allister nous était-elle tombée dessus de cette manière ? Nous n’avions rien fait qui puisse l’y inciter ; et nos activités avaient toujours été plus ou moins tolérées sachant que l’économie de la région reposait en partie dessus. Ce pacte tacite était resté inviolé des années durant, jusqu’à ces derniers jours. Pourtant nous aurions pu l’éviter si nous avions été plus méfiants, et plus prudents. Mais il faut croire que notre impunité nous avait rendus insouciants et arrogants. Je me jurai toutefois de découvrir ce qu’il s’était réellement passé, avant de mettre ces interrogations de côté pour revenir à des préoccupations plus terre à terre. Si nous restions sans rien faire, ils finiraient tôt ou tard par nous exécuter, c’était une certitude.

Notre prison était protégée magiquement, ce qui nous empêchait d’utiliser nos sorts pour nous téléporter ou pour en défoncer l’entrée. Mais je pris soudain conscience de ce qui nous permettrait peut être de nous évader : si les murs et le plafond étaient invulnérables, le sol en terre battue, lui, ne l’était surement pas !
Me mettant immédiatement à l’œuvre, j’utilisai mes dons pour invoquer de gigantesques ronces et essayer de creuser un tunnel. Après quelques tentatives, je réussis à trouver une méthode permettant de creuser rapidement et efficacement. Malheureusement, la galerie ainsi crée était très instable, mais c’était là notre seul espoir. Me retournant, je criai à mes compagnons de me suivre et m’y engouffrai sans attendre. Je courrai presque, créant quelques flamiches pour m’éclairer et éviter de trébucher sur le sol inégal. Estimant m’être assez éloignée, et poussée par le bruit sourd probablement dû à l’effondrement de la structure, je creusai vers le haut aussi vite que possible. Après d’interminables secondes, le jour apparut enfin devant moi, en même temps que les gardes, alertés par le vacarme.
Je me précipitai sans attendre vers la forêt toute proche sans même me retourner pour savoir si mes compagnons me suivaient toujours.

A bout de souffle, je m’arrêtai enfin, épuisée. J’étais seule. J’espérai que les autres s’en soient sortis, mais je ne pouvais en être certaine ; seul l’avenir le dirait. En effet, peu après notre enfermement, nous avions décidé – dans le cas où nous nous échapperions – de nous retrouver chez la Dolce Vita, guilde dans laquelle se trouvaient plusieurs de nos amis de confiance.
Un problème subsistait malgré tout ; j’étais totalement perdue. Fourbue, je marchai pourtant quelques heures encore jusqu’à la tombée de la nuit, avant de m’arrêter. J’invoquai quelques végétaux afin de me faire un abri confortable au centre d’une petite clairière, et m’y étendis avec bonheur, massant mes muscles perclus de douleurs. Il faisait doux, le temps étant encore clément en cette période de l’année. Aussi, je profitai quel le ciel fut dégagé pour admirer la myriade d’étoiles le composant, avant de sombrer dans un profond sommeil.
Lorsque je me réveillai, il faisait encore noir et tout était calme, l’activité nocturne s’apaisait doucement. L’aube était proche. Quelque chose hurla dans le lointain puis le silence revint, plus profond que jamais. La vie était dans un équilibre précaire entre deux mondes, prête à basculer à tout instant d’un côté ou de l’autre ; tout semblait encore possible durant ces quelques secondes précédant les premières lueurs du jour. La nature elle-même paraissait retenir son souffle, et je fis de même, impressionnée.
Après ce qui sembla une éternité, le ciel finit par s’éclaircir légèrement et les étoiles se fanèrent l’une après l’autre. Un tofu risqua un timide gazouillis, suivi de quelques autres, rompant la torpeur ambiante. La vie s’éveillait lentement, sortant un peu à contrecœur de cette douce léthargie.
L’aurore vint ensuite, puis un rayon de soleil émergea finalement de derrière les cimes enneigées, à l’Est, embrasant de mille feux la prairie humide de rosée. Chaque gouttelette étincelait ; la végétation resplendissait, baignée d’un halo de pureté d’une beauté saisissante.
Je restai interdite, n’osant bouger le moindre muscle de peur de briser la grâce qui émanait de cette vision enchanteresse.
Je levai toutefois les yeux et constatai que le firmament s’enflammait lui aussi, les tâches lactées qui en parsemaient l’azur naissant se parant de couleurs chatoyantes, magnifiant encore – si tant est que la chose soit possible – cette vision fantasmagorique.
Revigorée par ce spectacle saisissant, je restai encore quelques instants immobile avant de me décider à mouvoir un membre, puis un autre, et enfin me remettre en route.
Au bout de quelques heures, je tombai sur un semblant de piste, tracée, je l’espérais, par l’homme. Si tel était le cas, elle menait forcément quelque part ; quelque part où quelqu’un ou quelque chose pourrait me renseigner sur ma position. Par chance, je trouvai également quelques baies le long de la sente rudimentaire que je longeais ; pas de quoi faire un repas décent, mais suffisamment pour calmer les grondements de mon estomac.
Finalement, j’atterris sur un chemin plus important, comportant quelques indications. Je découvris que je n’étais pas très loin du village des éleveurs, lieu où se trouvait justement le manoir que nous devions rallier. Enfin la chance me souriait ! Affamée mais de bonne humeur, je continuai d’avancer d’un pas vif, approchant à chaque enjambée un peu plus de mon salut.

Hrp :

Bonsoir à tous (et à toutes),

Je ne m’étendrai pas sur mes motivations, je pense que c’est plutôt clair pour tout le monde (je viens pour voler chacun d’entre vous et mettre vos maisons à sac, vous l’aurez compris).
Je passerai donc directement à la présentation de mes personnages. Mais si je devais vous raconter toute l’histoire, nous y passerions la nuit ; aussi, je serai bref.

La protagoniste de mon petit RP est une disciple de Sadida du nom de Nylaa (et de niveau 149) qui fut mon personnage principal pendant un peu plus d’une année. Optimisée pour le PvP, je me suis beaucoup amusé avec, mais elle est pour l’instant en vacances en attendant de se reconvertir au PvM.
Ayant repris le jeu il y a peu (après plusieurs mois d’arrêt), j’ai décidé de rejouer mon eniripsa (de niveau 184) afin de continuer le petit roublard que j’avais commencé.
Et ce roublard, le timide Shy, a bien grandi puisqu’il a maintenant atteint le niveau 116. Il est lui aussi plutôt optimisé, mais toutefois moins que la sadi.
Je joue donc principalement sur ce dernier (je suis vraiment conquis par le gameplay de la classe), mais il m’arrive également d’utiliser l’eni s’il s’en fait sentir le besoin.
La sadi, quant à elle, reprendra sans doute bientôt du service. Probablement quand j’aurai un peu moins la flemme de refaire son équipement.

Et je pense que je vais m’arrêter là. Il reste tant de choses à dire, mais je vous laisserai le découvrir en jeu si jamais cela vous intéresse. Non pas que je veuille créer un quelconque suspens, mais si vous êtes arrivés jusqu’ici, il vous reste pas mal à lire.
Alors, je l’espère, au plaisir de se rencontrer en jeu !

Hum-jaimessa repensait à son arrestation par les gardes d’Allister. Ils avaient surgit dans sa maison de campagne sur l’île d’Otomaï alors qu’elle dégustait un steak de Glourscéleste.
Ser-hum, revenant de chez le voisin un pot de miel à la main, eut le temps de se cacher des gardes. Mais il ne put rien faire quand, poings liés, sa mère fut emmenée. Escortée par plusieurs gardes elle rejoignit sa geôle et y retrouva Nylaa.

Ignorant quelle était la cause de cette arrestation Ser-hum fut pris de panique. Il n’était pas rare que la sadidette soit convoquée pour des affaires de mœurs ou de violence. Mais il n’y avait jamais eu de suite.
Il fit le tour des maisons mais ne trouvant âme qui vive, il eut un mauvais pressentiment. Un seul refuge vint à son esprit, la Dolce Vita. Il espérait y revoir de vieilles connaissances, autrefois cosaliennes.

De son coté HJ était calme. Ça ne devait pas être une affaire bien grave et elle restait perplexe devant l’agitation de Nylaa. Cependant lorsque cette dernière creusa un tunnel, elle ne mis qu’une seconde avant de se décider à la suivre.
Elle courut aussi vite qu’elle put. Mais cela faisait déjà plusieurs mois qu’elle n’avait plus pratiqué d’activité physique et son corps le lui fit sentir. Nylaa était déjà loin devant. Sortie du tunnel, HJ aperçut son amie à l’orée de la forêt.
Manquant de trébucher plusieurs fois dans sa précipitation, elle atteignit enfin les bois. Nylaa avait disparu.

HJ erra une petite heure dans les bois durant laquelle elle dépouilla un groupe de jeunes aventuriers. Elle put ainsi se vêtir chaudement et récupérer quelque kamas. Son errance prit fin lorsqu’elle arriva au bord d’un chemin bien connu.
La disciple de Sadida contourna la Forêt des Abraknydes par le Sud et fit halte pour la nuit quand elle vit le lac enchanté.
Tard dans la nuit, alors qu’elle ne trouvait toujours pas le sommeil, elle vit au loin une ombre se mouvoir, lentement. L’ombre se rapprochait et quand elle fut assez proche, quelle ne fut pas sa surprise de reconnaître, sous ces traits fatigués, Ser-hum tenant à peine sur ses jambes.
Leurs regards se croisèrent et il s’effondra.
Alors que le soleil était déjà haut dans le ciel l’éniripsa se leva. La sadidette cuisait un dokalako qu’elle avait chassé plus tôt dans la matinée. C’est alors qu’il conta son périple : « Quand j’ai vu les gardes t’emmener, je me suis enfuis, avant de faire le tour des maisons de nos membres mais je n'ai vu personne. Dans ma précipitation je n’avais pris suffisamment de potions de foyer. Ainsi je me suis retrouvé coincé chez Pandinette-fire, sans argent ni vêtements appropriés. Je puis te dire que l’hiver sur Frigost ça refroidis plus que notre salle d’interrogatoire. Donc impossible de payer le zaap, j’ai dû prendre le bateau malgré moi. […] Et après deux bonnes journées de marche me voici. »
Ce n’est qu’après une dernière sieste que les deux Cosaliens en exil reprirent la route.

La fin de la journée approchait. A l’horizon commençait à se dessiner le village des éleveurs.
Leurs problèmes allaient prendre fin. Du moins l’espéraient-ils.



Je joue actuellement une sadida 200 orientée feu/dommage depuis une cinquantaine de niveaux qui n'a malheureusement plus de stuff. (j'emprunte un équipement complet à pandinette fire). Je possédé aussi un eni 199 pour soutenir les kikoos qui foncent dans le tas.

Mon travail me prend beaucoup de temps et je ne puis malheureusement jouer que les grands weekend ou pendant mes vacances.

C'était un soir comme les autres, Pandinette-Fire comme à son habitude se trouvait dans sa taverne favorite de Brakmar, la taverne de Djaul. Elle se situait seulement à deux pâtés de maisons de celle de Hum-jaimessa, ce qui s'avérait très utile les soirs où entre boire ou conduire, Pandinette choisissait de vomir. Alors que Pandinette racontait pour une énième fois au barman comment elle avait volé quatre jeunes innocents aujourd'hui, une troupe de milicien entra dans le bar.
-Nous sommes venus arrêter Pandinette-Fire, membre de la Cosa Nostra. Toute résistance sera inutile, les lieux sont cernés et nous avons autorisation d'user de violence si nécessaire.
-Quouah, que qui mwa? Les mots sortant de la bouche de Pandinette-Fire étaient aussi fluides et audibles qu'ils pouvaient l'être avec quarante-neuf bières dans son gosier.
-Oui, vous êtes en état d'arrestation, rendez-vous sans protestations, dit le sergent milicien.
C'est alors que se déroula un vaillant combat entre Pandinette-Fire et les soixante miliciens venus l'arrêter, elle roua ses adversaires de coups avec son bâton brelle, tantôt elle les assommât, tantôt son visage était le dernier qu'ils voyèrent. Alors qu'ils n'étaient plus que cinq, Pandinette dans son élan, glissa sur une flaque de bière qu'elle avait renversé une heure plus tôt. Elle perdit pendant quelques instants son équilibre, et là, un traître milicien la frappa par derrière sur la tête avec sa massue.
Cette histoire est celle que Pandinette-Fire raconta lorsqu'on lui demande ce qui s'est passé. Les faits réels sont quelque peu différents.
-Oui, vous êtes en état d'arrestation, rendez vous sans protestations,dit le sergent milicien.
Pandinette-Fire chercha alors son bâton de castagne, elle sentie un manche tira et...le résultat fut beaucoup moins impressionnant que prévu. En effet, elle avait beaucoup moins fière allure avec son marteau de forgemage qu'elle avait oublié de ranger pour équiper son bâton.
-Zuuut, ça va être un touuut tit peu plus compliqué...
Elle s'avança en titubant, donnant des coups dans le vide et criant des phrases inaudibles. Un milicien tomba raide. Il venait de sentir les effluves d'alcool sortant de la bouche de Pandinette et ne put tenir le coup. Alors qu'elle continuait à s'élancer sur ses adversaires, elle marcha sur une flaque, non pas de bière, mais d'une étendue de fluide gastrique que Pandinette avait dégorgé une heure plus tôt. Elle glissa en arrière, et sa tête heurta le coin de la table.
Le résultat fut le même, Pandinette se retrouva dans les geôles avec ses compagnons de la Cosa Nostra. Cependant il faisait sombre et elle n'arrivait pas à distinguer si tout le monde était là. En se relevant, sa tête tourna, et cela pour deux raisons. La première est qu'une énorme bosse ornait maintenant sa tête, et la deuxième était qu'elle avait l'impression qu'un combat de boutfou se déroulait dans son crâne.
-L'alcool c'est mal. Maugréât a-t-elle.
Comme ses amis cosaliens, elle se demandait pourquoi nous étions tous enfermé ici. Qu'avions nous fait? On avait toujours été réglo, enfin, à notre façon. Mais elle ne voyait pas ce qui expliquait l'incarcération de toute la Cosa Nostra.
Elle sortie de ses réflexions lorsqu'elle vit Nylaa en train de remuer ciel et terre pour sortir. Plusieurs la suivirent dans ton tunnel d'évasion. Pandinette-Fire s'apprêtait à les suivre lorsque les fondations s'effondrèrent. Tout un pan de mur du cachot s'effondra, Pandinette en profita alors pour s'engouffrer dans ce passage, elle se retrouva dans une cave éclairée seulement par une petite grille en hauteur laissant passer de faibles rayons de soleil. Il y avait là des étagères remplies de bouteilles, des tonneaux et une vieille guillotine qui ne semblait plus servir. 'était sans issue, elle entendit alors les bottes des miliciens qui arrivaient en courant avertis par le bruit qu'avait produit l'effondrement. Ni une ni deux, elle invoqua un tonneau et s'y cacha en espérant ne pas être découverte. Les miliciens arrivèrent, ils firent le tour de la cave et s'en allèrent à la poursuite des autres cosaliens qui s'étaient échappés par le tunnel.
-J'espère qu'ils vont s'en sortir.
Pandinette-Fire sortie alors de sa cachette pour analyser la situation. Elle se trouvait dans la cave, pouvait avoir accès, par le pan de mur effondré, au cachot mais celui-ci était toujours fermé. Elle se retrouvait donc toujours prisonnière. Pandinette attendit deux jours avant qu'un milicien ne pointe le bout de son nez, la clef de la cave tourna et la porte s'ouvrit. Un milicien de petite taille mais avec un tour de ceinture impressionnant entra. Il se dirigea avec un tirebouchon vers l'étagère, prit une bouteille pour engloutir son breuvage. C'est alors que la jolie pandawa éclata littéralement le tonneau sur la tête du milicien par derrière.
-Ça t'apprendra à boire en cachette, s'exclama-t-elle en enjambant son corps étendu.
Elle prit les clefs attachées à sa ceinture et sortie de la cave. Elle se glissa en dehors de la prison, avec grâce et silence comme elle savait si bien le faire lorsqu'elle était sobre.
Bon maintenant en route! Il faut que j'aille rejoindre mes camarades devant le manoir de la Dolce Vita, l'aventure ne fait que commencer.




[HRP]
Bonsoir à vous membres de la Dolce Vita!
Alors je me présente IRL, je m'appelle François, je suis en première année IUT Technique de Commercialisation en Bretagne. Je pratique le basket voilà 8 ans, je sors souvent le week-end entre potes et je joue à dofus depuis, hum, cinq ans.
IG je suis un très très très ancien Cosalien. En effet je l'ai intégré deux mois après sa création en août 2007, sans l'avoir quittée. Vous pensez donc bien que le choix de la quitter/migrer ne s'est pas pris à la légère. Mes motivations qui me poussent à postuler pour la Dolce sont simples : des valeurs proches de la Cosa, des personnes membres que je connais et que j'apprécient, ainsi qu'une envie de construire quelque chose avec de nombreuses personnes motivées.
Autrement, je possède une pandawa nommé Pandinette-Fire qui est mon personnage principal niveau 200. Un enutrof ( Partouzadix), un eniripsa (Alicament) dont j'attend toujours confirmation du support pour me faire restituer mon équipement hackés, tous deux lvl 200. Et une iopette en commun avec Taktillerix de cercle 193.

Si vous avez des questions, n'hésitez pas.

Pour information, pourquoi une masse de personnes de cette ancienne guilde postulent chez nous ?

Val'

Par pitié c'est évident... Votre guilde se meurt et vous avez soif de membre de qualité. Nous on a soif tout court

ah je l'ai dit canal guilde quand il y avait pas mal de monde, tu n'étais peut être pas co !

La Cosa Nostra souhaite nous rejoindre, et comme ce sont de vieux joueurs qui connaissent pas mal de personnes de la guilde, on leur a proposé de poster une candidature en commun.

Sinon Coucou à vous les Cosaliens !! Je vais déplacer vos candidatures pour les délibérations ! En tout cas on a de la lecture !!!

Il manque la candidature de Jeno et celle de Tak' qui a oublié de post la sienne après avoir mit mon intro ><.

Normal, la mienne devait arriver tout de suite après, vu que les autres étaient basés dessus. Mais oui, il a quand même oublié de revenir poster la sienne.

Edit : Il manque également celle de Jeno.

Hum oki Ciu, nan jetais pas là .

C'est clair on à de la lecture, moi qui suis pas littéraire

Bon, je m'y attendais, je savais que le pavé serait... conséquent^^'

Grosse flemme de le lire à cette heure la, je lirait demain^^

Ethane a écrit:

Normal, la mienne devait arriver tout de suite après, vu que les autres étaient basés dessus. Mais oui, il a quand même oublié de revenir poster la sienne.

Edit : Il manque également celle de Jeno.

Je n'ai pas oublié, je n'ai juste pas eu l'occasion de me co avant ce midi. Pour ceux qui n'aiment pas les RP vous pouvez ne lire que les partiez entre les balises [HRP][/HRP].
Maintenant place à ma candidature (j'ai essayé de ne pas faire trop long).





Dans la cellule, Taktillerix tenait les mains fébriles de son mari Khame. Dans son malheur elle ne pouvait s’empêcher de penser à l’ironie du sort qui allait enfin la faire hériter des possessions du vieux alors qu’elle-même devrait aller faire face aux dieux.

-Finalement cela ne servait à rien que je te fasse changer de nom pour éviter de transmettre ton héritage à tes enfants, lui susurra-t-elle.

Soudain elle vit Nylaa s’afférer à leur frayer une voie de sortie, elle lâcha alors les mains de l’énutrof aussi vite qu’elle l’avait épousé jadis et s’engouffra dans le trou. Après quelques secondes de course effrénée, entendant l’ersatz de tunnel s’effondrer derrière, elle lança un sort de trêve sur les parois sur quelques mètres autour d’elle en espérant que cela protège les évadés encore présents puis se téléporta à l’aveuglette au-dessus d’elle.

Chance ! Elle se retrouva là où avaient été entreposées les affaires qu’elle portait sur elle lors de l’arrestation de la famille par ce qui avait semblé être toute une armée. Ah, si seulement la famille avait été aussi nombreuse et forte qu’auparavant, ils auraient écrasé ces miliciens et auraient réclamé la tête d’Allister pour avoir osé les déranger dans leurs business qui avaient lieux depuis la résurrection de Brâkmar.

Retrouvant son arme et ces dofus elle sorti de l’édifice sans courir et, à force de se faire massacrer, les soldats finir par ne plus se mettre en travers de son chemin mais l’un deux lui cria :

-Tu t’en sors cette fois car tu nous as pris au dépourvu mais nous connaissons ta tête et nous te retrouverons tôt ou tard, peu importe le trou dans lequel tu te cacheras dans le monde des douzes !

Prenant peur, Taktillerix bu une des potions d’invisibilité qu’elle avait récupérées et s’enfui. Quelques heures plus tard elle se retrouva au fond d’une forêt face à un alchimiste qui travaillait pour elle. En effet, c’était l’un des fournisseurs de la Cosa Nostra qui se retrouvait désormais au chômage. La fécatte lui donna une coquette somme d’argent pour une dernière potion qu’elle prit soin de boire sans personne pour la voir. Après quelques secondes de douleurs atroces sur chaque centimètre de son corps, elle releva une mèche trempés de sueur qui lui était tombé devant le visage pendant qu’elle se tordait de douleur, Taktillerix remarqua avec satisfaction que ses cheveux autrefois châtains étaient devenus blonds. C’est donc métamorphosée qu’elle se retrouva finalement devant le manoir de la Dolce Vita.

[HRP]Bonjour à tous, moi c’est Taktillerix allias Rémi. J’ai 22 ans et je suis actuellement en 2ème année d’école d’ingénieur. J’ai découvert le jeu il y a un peu plus de 4 ans et demi mais je n’avais joué que quelques semaines sans trop découvrir vraiment Dofus (ha je me rappelle quand même des armures qui duraient tout le combat). J’ai vraiment commencé à jouer il y a presque 3 ans et je suis entré à la Cosa Nostra dès mon niveau 110 (critère d’entrée à l’époque) il y a presque 3 ans ^^.

Depuis tout ce temps j’ai exploré, je pense, toutes les facettes du jeu, mes activités favorites sont les donjons de Frigost II mais il m’arrive tout de même de faire d’autres donjons à l’occasion (notamment pour aider des amis ou guildeux). Néanmoins j’attends avec impatience du nouveau contenu (qui a dit Frigost III ?).

Ma fécatte est plutôt optimisée avec 1 ocre, 1 tutu, 1 exo pm et 1 exo pa. Mis à part elle je possède 1 énu, 1 zobal et 1 osa 10 pa’s 5 pm’s et tutufiés mais aussi 1 énu 10/4 (qui ne me sert que pour drop des fois) et 1 iop que je partage avec pandi qui ne devrait pas tarder à être 10/5 et 1/2. Bien sûr je ne joue pas tout en même temps à chaque combat, je m’adapte à l’équipe.

Sinon je suis actuellement meneur de la Cosa Nostra mais la guilde se meurt, nous avons décidé de trouver une nouvelle guilde pour nous accueillir et nous aimerions beaucoup que cela soit la vôtre car nous (= les plus anciens cosaliens) connaissons un certain nombre de vos joueurs et je connais moi-même la plupart d’entre vous pour traîner sur votre forum depuis quelques temps.

Bref si je ne vous ai pas fourni assez de lecture pour vous contenter, vous savez où me trouver =).[/HRP]

Je trouvais le blason de la cosa si beau :'(


[bienvenu sur le forum]

Tout d'abord, bienvenue à vous sur notre forum et bonne chance pour integrer nos rangs (:
On voit bien que vous avez passé du temps sur votre candidature mais quand on enleve le rp, on se rend compte que l'on n'apprend, finalement, pas beaucoup de choses sur vous dans la plupart du temps ( aussi bien ig qu'IRL )
N'ayant actuellement pas accès à mon ordinateur, je vous propose donc d'agrandir la partie vous concernant (:
Bonne journée/soirée
Chap'

Je rajoute une partie IRL alors bien :'(

Je m’appelle Txomin, 20 ans, je vis dans le sud-ouest entre le Pays Basque, Bordeaux, Arcachon et La Rochelle suivant mes activités.
J’ai fait une pause dans mes études et je travaille en tant que chaudronnier (je peux faire la promo de ma boite ? quoi non ?).
J’suis passionné de musique (jazz, dub, classique, musique du monde, rock…). Je joue de la flute traversière depuis…longtemps ainsi que du didgeridoo.
Quand la saison et le temps le permettent je fais un peu de chute libre. Expérience que je conseille à tous ne serait-ce qu’une fois


La Cosa Nostra la seule guilde dont j'ai vraiment fait parti, depuis presque 3ans.
Dans le jeu j'appréciais surtout xp et optimiser les combats. Mais après le up 200 de la sadi, j'ai un peu lâché. Du coup j'ai beaucoup jouer les incarnations wakfu TCG.
Maintenant j'ai plus trop de but IG (mon temps de jeu ne le permettant pas trop) sinon que de passer du temps avec les guildeux.

oulala... j'viens de me ramasser 9h de cours aujourd'hui, je verrais demain pour dire quelque chose, car la je suis à peine apte a froncer les yeux histoire d'y voir quelque chose!

Moi j'suis bien évidemment du côté cosa, j'vous connais tous (même shadow même si j'ai jamais été guildé avec lui^^).

PS : quelqu'un déplace la candid ou on vote sur le post même ?

||indy|| On déplace toujours! Au pire si un jour tu vois qu'on le fait pas, tu le fait toi même! Suffit de créer un sujet et de copier coller! On te grondera pas xD

On attends que tout le monde poste sa candid' avant de tout deplacer, il manque celle d'une personne jcrois

Ouai, pas de nouvelles de Jeno depuis une semaine, il a dû reprendre les cours. On lui laisse jusqu'à ce week end pour poster ?

Oui ou sinon il postera séparément ca revient au même

J'ai lu une petite parti mais pour le moment nous l'avons plus internet a la maison ( et la je suis au travail je n'est donc pas le temps de tout lire mais ça ne saurais tarder dès que nous avons récuperer internet ).

Je vous souhaite à tous tout de meme la bienvenue sur notre forum et j'espere bientot chez nous Je connais dèja une bonne partit d'entre vous qui conaisse déja ma réponse les concernants !

Supo a écrit:

Je connais dèja une bonne partit d'entre vous qui conaisse déja ma réponse les concernants !

Qui est "Plutôt mourir que de covoisiner dans la même guilde !"

Méchant Supo !

Je commence à déplacer les candidatures alors maintenant que j'ai retrouvé ma merveilleuse connection qui m'a tant manquée Cela permettra de faire avancer le recrutement histoire que ca traine pas trop en longueur.

Pour Jeno, il pourra toujours poster sa candidature dans ce post ou dans un nouveau, c'est comme il le sent.